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merci à solenna qui a posé sa voix sur ce texte de l'ami jean- michel leleu que j'ai mis en musique....il y a
Par lecompo, le 19.02.2025
quand j'écoute ce texte de danielle camin-massabia u
je suis toujours aussi touché.ma mélodie ne doit pas êtr
Par lecompo, le 01.06.2024
quand j'écoute ce texte de danielle camin-massabia u
je suis toujours aussi touché.ma mélodie ne doit pas êt
Par lecompo, le 01.06.2024
jolie musique bravo jean-pierre et bravo jean-michel pour le texte
gros bisous http://patrici a93.centerblog
Par patricia93, le 17.04.2024
coucou jean pierre, cette chanson un peu triste mais qui ne manque pas d'énergie ( que le diable l'emporte !)
Par Anonyme, le 03.03.2024
· LES DOMPTEURS
· LETTRE A MA FILLE
· Tout ce qui ne se dit pas
· Le tango de la vieillesse
· L’INFIRMIÈRE VOYAGE
· L’UTOPIE N’EST PAS UN RÊVE
· MINOUS ET MINETTES
· LES ENFANTS DE LA SHOAH
· Pour tous les enfants du monde
· LA CANNE ET LE BERET
· JE LEVE MON VERRE
· VENDANGES TARDIVES
· INDIGNE BLESSURE
· LA TENDRESSE
· JE NE VEUX PAS MOURIR AVANT D’ÊTRE VIEUX
Date de création : 16.07.2006
Dernière mise à jour :
03.10.2023
166 articles
LA DAME DES BEAUX QUARTIERS
.
Elle porte Chanel cinq
Et se fringue chez Dior
Elle écoute Alain Minc
Et a sa table au Flore
Des week- end à Deauville
Pour se faire remarquer
Pas de faute de style
Madame est raffinée.
.
La dame des beaux quartiers
Qui n’est pas comme nous
Elle a comme qui dirait
Du standing et des sous.
.
Elle promène son yorschire
Sur les champs Elysées
A quelques pas derrière
Le chauffeur la Bentley
Elle traite ses affaires
A l’hôtel Georges V
Dans ce monde prospère
Champagne à volonté.
.
La dame des beaux quartiers
Qui n’est pas comme nous
Elle a comme qui dirait
Du standing et des sous.
.
Elle a ses œuvres bien sûr
Et fréquente l’évêché
Elle n’est pas j’ vous assure
Dépourvue d’ charité
Mais elle change de trottoir
Pour peu qu’à l’horizon
Se pointe un gris, un black
Qui mate trop son vison.
.
La dame des beaux quartiers
Qui n’est pas comme nous
Elle a comme qui dirait
Du standing...et des sous.
.
Un monde à deux vitesses
Où des gens crèvent de faim
De froid et de détresse
Isolés dans leur coin
Et d’autres qui s’empiffrent
A dégueuler parfois
Où est donc la justice
Et l’ bon dieu dans tout ça ?
.
La dame des beaux quartiers
Qui n’est pas comme nous
Elle a comme qui dirait
Du standing et des sous.
.
Interprète: Jean-Michel Leleu
.
Paroles et Musique:Jean-Michel LELEU / Jean-Pierre LOMBARD
SACEM
http://www.e-monsite.com/jeanmichansons
https://youtu.be/QAu8YUmwzCs?si=t9meiAJl5iq7vuKghttps://www.facebook.com/yvesferdinandbouvier/https://youtu.be/8U1iPXy9xb8
J'AI L'AMOUR DANS LE SANG
Texte: Yves-Ferdinand Bouvier
Musique: Jean-Pierre Lombard
J'ai l'amour dans le sang
Il y chante son plein son
J'ai pension à son banc
J' m'y attable en un bond
A fin d'être dans le rang
Sans tourner dans le rond
Pour l'amour
Je suis prêt ! C'est à cent
Pour cent bon pour le son
Tout mon cœur fort se fend
Quand ton cœur jusqu'au fond
Qui n'a peur ni ne ment
Chante au sommet du mont
De l'amour
J'ai l'amour dans le sang
Il y chante son plein son
Jusqu'au bout de mes dents
Je ressens son doux don
Qui me borde avec gants
Et me sort de mes gonds
Par amour
Je suis prêt ! C'est à cent
Pour cent bon pour le son
Tout mon cœur fort se fend
Quand ton cœur jusqu'au fond
Qui n'a peur ni ne ment
Chante au sommet du mont
De l'amour
J'ai l'amour dans le sang
Il y chante son plein son
Recruté dans son camp
Je ne suis jamais con
Mais toujours dans le vent
Où tous les désirs vont
Vers l'amour
J'ai l'amour dans le sang
Il y chante son plein son
Tous les murs partent en pans
Transpercès par son pont
Quand mon cœur tard se tend
Et bat sur tout les tons
Son amour
J'ai l'amour dans le sang
Comme un seul nos cœurs sont
Passé lent
Futur long...
Interprète: Yves-Ferdinand Bouvier
https://www.facebook.com/yvesferdinandbouvier/
https://www.facebook.com/jeanpierre.lombard1/
Il a dit : « A la citadelle »
Alors j’y vais
J’y vais
J’y vais
Regarde comme je suis belle
Toute à l’envie
Toute au désir
Alors j’y vais
J’y vais
J’y vais
J’y vais gravissant les marches
Tordues de lichen
Dans ma tête, c’est Big Ben
Qui sonne la joie
Qui sonne la fête
L’envie, l’émoi
La première fois.
Il a dit "à la citadelle
Alors j'y vais
J’y vais
J’y vais.
Je vais à la joie des caresses
Je marche vite, je cours
J'ai un rendez-vous de tendresse
J'ai un rendez-vous d'amour
J'y vais, j'y vais.
Tant pis si c'est pur mensonge
Ne touchez pas à mon songe
J'y vais j'y cours j'y cours
Au-dessus il y a la nuit
Et le monde tout autour
Je ne connais qu'une adresse
Celle du compte à rebours
Et j'y vais j'y vais j'y vais
Il a dit : « A la citadelle »
Alors j’y vais
J’y vais
J’y vais
Regarde comme je suis belle
Toute à l’envie
Toute au désir
Alors j’y vais
J’y vais
Dressée, armée et cruelle
Protégeant les alentours
Pour moi cette citadelle
Est celle de mes amours
Alors j’y vais
J’y vais
J’y cours……
Interprète: SOLENNA http://www.myspace.com/video/rid/111695116
Paroles : Danielle Camin-Massabiau
Musique : Jean-Pierre Lombard
AUX VERANDAHS ET AUX VARANGUES
Aux vérandahs et aux varangues
Le vent très doux porte chaleur
Porte moiteur et porte effluves
Et porte tristesse à mon cœur
Au petit ponton qui s’abîme
Le bois a perdu sa couleur
Barque danse au clapot du soir
Et porte tristesse à mon cœur
On me disait que du Cap-Vert
Bateau me donnerait bonheur
C’était mensonge pour l’enfance
Il porte tristesse à mon cœur
Le nom des rues
Je l’ai perdu
Le cri des races
Aussi s’efface
Toutes les photos ont jauni
J’ai perdu toute référence
Le Blanc, le Noir, de connivence
Se sont penchés sur mon enfance
Rien ne sera plus comme avant
Le chant de la maison d’en face
Tourne longtemps dans la torpeur
Chauffe la nuit de ses épices
Et porte tristesse à mon cœur
Aux vérandahs et aux varangues
Le vent très doux porte chaleur
Porte moiteur et porte effluve
Et porte tristesse à mon cœur.
Paroles Danielle CAMIN-MASSABIAU
Musique Jean-Pierre LOMBARD
Voyelles
(Arthur RIMBAUD)
1871
A noir, E blanc, l rouge, U vert, 0 bleu: voyelles,
Je dirai quelque jour vos naissances latentes:
A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour des puanteurs cruelles,
Golfes d'ombre; E, candeurs des vapeurs et des tentes,
Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles;
l,pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
Dans la colère ou les ivresses pénitentes;
U, cycles, vibrements divins des mers virides,
Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides
Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux;
0, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
Silences traversés des Mondes et des Anges;
- 0 l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux!
Mis en musique par Jean-Pierre LOMBARD
ROMANCE DE LA P’TITE PUTAIN
Les p’tites putains de Santiago de Cuba
Frétillent dans les rues sur un air de rumba.
Elles dansent sans remords
Au soleil de la mort
Et pour douze dollars
Se tapent des gros lards.
Les p’tites putains de Santiago de Cuba
Défilent en cotillon qui dévoile leurs bas.
Un grand sourire au Che
Pour ne pas le fâcher
De gagner des dollars
A poil sur un plumard
Les p’tites putains de Santiago de Cuba
Finiront dans une plantation de tabac.
Je vais partir bientôt
Donne-moi un peso
C’est fini les dollars
Maintenant c’est trop tard.
Les p’tites putains de Santiago de Cuba
Frétillaient dans les rues sur un air de rumba.
Paroles : Roger Moitier Musique :Jean-Pierre Lombard
Tu penses à qui ?
Tu penses à quoi ?
Quand tu t’en vas te fabriquer des mondes
L’éternité couchée dans tes petits papiers
Tu penses à qui, lorsque tu penses ?
Aux promesses exhumées
Aux paroles qu’on enterre ?
Au faux dieu pour prier
Qui se prend pour ton père ?
La tendresse exilée
Sur des airs de routine ?
Aux mimiques du temps
Dans ses heures assassines ?
Tu penses à qui… ?
Tu penses à quoi ?
À ta vie bétonnée
Au chagrin qu’on devine
A ces voix emmurées
Dans le fer des usines
Tu penses à qui… ?
Tu penses à quoi ?
Quand tu t’en vas ?
Avec un rêve au chaud
A la nuit pour la rime
Les mots déshabillés
D'un poème indécis
Ses voix pour t'attacher
Le cœur en stéréo
Le temps de tes vingt ans
Battant mille musiques
Tu penses à qui ?
Tu penses à quoi ?
Ses mains imaginées
Ses bras pour te hisser
Le coeur éthériser
Des essences exotiques
Tu penses à qui ?
Tu penses à quoi...
Quand je te pense un peu
Juste à coté de moi ?
Aux fleurs à inventer
Les nuits désordonnées
Quand poussent dans mon vers
Tes prochaines folies
Tu penses à qui ?
Tu penses à quoi ?
Paroles : Jacques GOURVENNEC
virgule@neuf.fr
[url]http://poetesaletype.new.fr[/url]
Musique : Jean-Pierre LOMBARD
lombardjp4@orange
Qui aurait envie d'interpréter cet hymne à l'amitié?Vous connaissez Bernard Dimey??Non?Alors pas de temps à perdre.Vous irez de surprise en surprise!Merci Jean-Mi. d'avoir écrit ce texte qui nous fait tant penser à lui.
LE CAFÉ BARNUM
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Dans ce cirque de bouffons
Pas de clowns ni d’orphéon
Une piste sans étoiles
L’amitié mène le bal
Le patron de ce bric-à-brac
A plus d’un tour dans son sac
Si t’es un peu esseulé
Cet endroit va t’adopter
Je vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Pour noyer tes insomnies
Quand la ville est endormie
Une faune littéraire
Réinvente la planisphère
Écrivains en rade de texte
Comédiens pleins de complexes
Ou chanteurs qui ne sont pas
Tête d’affiche à l’Olympia
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Quand tu rentres dans ce bistrot
L’oxygène te fait défaut
Complètement intoxiqué
Par les clopes et le rosé
En joyeux méli-mélo
S’ébattent nos marginaux
Cour des miracles réunit
Casimodo à Gipsy
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Seul bémol dans ce décor
C’est le frêle et triste corps
D’une fille qui a grandi
Entre nuits blanches et whisky
Et qui donne chaque soir
Du soleil au désespoir
Elle qui ne connaîtra pas
D’autres lieux que celui là
J’vais te raconter bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère de paumés
Si tu crois que j’ai inventé
Ce p’tit bar de déjantés
Cherche un peu tu trouveras
Un Barnum près de chez toi
Ce genre de lieu pas béni
Est souvent le paradis
De gens marginalisés
Par cette putain de société
Je t’ai raconté bonhomme
L’histoire du café Barnum
Pas un palace pour friqués
Mais un repère..... d’amitié
MERCI à JULIAN RENAN qui par amitié prête sa voix et tout son talent pour faire connaître cette chanson.
paroles: Jean-Michel LELEU
courriel
jeanmi.leleu@tele2.fr
site
[url]http://www.e-monsite.com/jeanmichansons[/url]
musique: Jean-Pierre LOMBARD
courriel
lombardjp4@orange.fr
..... QUI capte quoi?
Un parasol
Une parabole
Un pot de fleur
Sur la terrasse
Moi j’appelle ça un balcon
Un petit coin carré tout con
Où un vieux chat se prélasse
Question de milieu
Question de race
Question de place
Qui capte quoi
Et comment ?
Qui entend quoi ?
Qui comprend ?
Question d’espace
Question qui agace.
Un géranium
Couleur minium
Comme un pétard
Sur la terrasse
Moi j’appelle ça un balcon
Un petit coin carré tout con
Où un vieux chat se prélasse
Drôle de milieu
Et quand tu montes
Tu te rends compte
Qui capte quoi
Et comment ?
Qui entend quoi ?
Qui comprend ?
Question d’espace
Question qui agace
Un beau visage
Encore sage
Une fille en fleur
Sur la terrasse
Moi j’appelle ça un balcon
Un petit coin carré tout con
Où un vieux chat se prélasse
Fille du milieu
Mais sans empire
Et même pire
Qui capte quoi
Et comment ?
Qui entend quoi ?
Qui comprend ?
Question d’espace
Question qui agace .
Extrait d'un poème de Danielle CAMIN-MASSABIAU mis en musique par Jean-Pierre LOMBARD(lecompo)
Chant-guitare: DIDIER